Une telle innovation ne devrait être introduite que pour des sujets humanitaires. Les tâches de l'examen et de l'examen sont élaborées par l'Institut fédéral de mesures pédagogiques (FIPI). Selon la responsable de l'Institut, Oksana Reshetnikova, la pratique bien établie de la mémorisation de la discipline humanitaire ne permet pas à l'étudiant de bien comprendre l'essence du sujet.
Pourquoi les étudiants ont-ils besoin d'Internet pour leurs examens?
La recherche d'informations sur Internet permettra aux étudiants d'apprendre à trouver rapidement les sources d'informations dont ils ont besoin. En lisant et en comprenant les données de référence de diverses ressources multimédia, le diplômé développe mieux les processus mentaux et analytiques. La mémorisation n'a pas du tout développé la capacité d'analyse des étudiants.
On sait que les étudiants des cycles supérieurs ont été formés à la résolution de tâches de test, ce qui a eu un effet néfaste sur la capacité d'interpréter de manière critique les informations. La traduction des examens de sciences naturelles sous forme électronique ouvre bientôt la possibilité d'utiliser des livres de référence ou des données géo-informationnelles en géographie.
Mettre les choses en pratique
Pour un examen plus complet des étudiants, une partie expérimentale des tâches peut être introduite. Il est censé présenter des clips vidéo et mener des expériences en utilisant divers périphériques connectés à un ordinateur:
- dynamomètres
- ampèremètres;
- voltmètres etc.
Mais le rééquipement technique ne représente pas tous les changements. Selon les experts, le transfert complet des étudiants vers la forme électronique des examens n’est pas la meilleure solution. Le talent de la communication en direct avec les examinateurs n’est pas moins important lorsqu'un diplômé tente d’exprimer ses pensées de la manière la plus compétente possible.
La question du rééquipement technique des écoles dans les régions reste ouverte. Selon Oksana Reshetnikova, pour tester de nouvelles technologies dans la pratique, il faut au moins deux ans. Une fois les problèmes d’organisation résolus, les experts devront créer une banque de tâches qui seront proposées aux examens.
En ce qui concerne le contrôle du contenu Internet inapproprié, il n’existe toujours pas d’information complète sur le blocage exact des sites interdits. On ignore s'il s'agit de listes noires et blanches ou d'un accès interdit aux 18 ressources et plus, à toutes sortes de guérisseurs et de réseaux sociaux. À ce jour, les établissements d’enseignement utilisent des «jammers» spéciaux au moment de la réussite des examens.
L'examen de 2019 se termine le 1er juillet. Les jours de réserve commencent le 17 juillet.